Lors d’une montée en télésiège nous avons utilisé le capteur barométrique d’un smartphone associé aux données GPS d’altitude pour étudier la variation de la pression atmosphérique en fonction de l’altitude. Les données expérimentales sont en accord avec une modélisation affine. Le capteur de pression a une précision telle qu’il permet d’envisager de faire effectuer les mesures à des lycéens lors de variations d’altitude de quelques mètres. Hormis la mise en évidence simple d’une loi fondamentale, le traitement des données permet de déterminer l’ordre de grandeur de la masse volumique de l’air dans la zone de mesure.